La Ballade du feu
Olivier Mak-Bouchard
Le Tripode - 2025
9782370554536
Dans ce roman joyeux et doux, par l'auteur du
Dit du Mistral, un jeune homme perd subitement son travail. Il pense que c'est la fin. Il a tout faux : c'est le début d'une autre vie. Aidé par un chat taquin et un rapace fugueur, il va pouvoir faire ce qu'il a toujours voulu.
Un jour de septembre, un jeune homme perd son emploi. Il pense que c'est la fin. Il a tout faux : c'est le début d'une autre vie, où l'accompagnent bientôt un chat en smoking et un rapace fugueur. Sans oublier une abonnée à 30 millions d'amis, un homme qui joue avec le feu et un frère, plus beau représentant des blaireaux. La Ballade du Feu est un livre sur les erreurs. Les erreurs d'orientation professionnelle, les erreurs de géolocalisation. Les erreurs que l'on peut faire quand on croit que la vie ne nous appelle plus. On y parle en fait de ces jours où on se demande ce qu'on a fait au Bon Dieu ; ces jours où vous auriez pu dire non mais où, allez savoir pourquoi, vous avez finalement dit oui.
Ça commence comme ça :
" J'ai toujours aimé la terre. Ça, au moins, je l'ai toujours su. La terre, l'argile, la glaise : on l'appelle comme on veut, ça n'a pas beaucoup d'importance. Non, ce qui est important, c'est que je l'ai toujours aimée. J'ai toujours voulu la malaxer, la travailler. Faire corps avec elle. "
D'un roman à l'autre, Olivier Mak-Bouchard perfectionne son style qui s'avère trouver ici une belle délicatesse. Le narrateur est un homme plein d'hésitations, de maladresses, d'une humanité touchante, tendance paumé. Comme dans les deux précédents romans de cet auteur, nous voici au cœur du Luberon, dans des paysages qui sentent bon la garrigue et les mythologies régionales. Votre roman de l'été ? Oui, ça peut bien être celui-ci !
" J'ai toujours aimé la terre. Ça, au moins, je l'ai toujours su. La terre, l'argile, la glaise : on l'appelle comme on veut, ça n'a pas beaucoup d'importance. Non, ce qui est important, c'est que je l'ai toujours aimée. J'ai toujours voulu la malaxer, la travailler. Faire corps avec elle. "
D'un roman à l'autre, Olivier Mak-Bouchard perfectionne son style qui s'avère trouver ici une belle délicatesse. Le narrateur est un homme plein d'hésitations, de maladresses, d'une humanité touchante, tendance paumé. Comme dans les deux précédents romans de cet auteur, nous voici au cœur du Luberon, dans des paysages qui sentent bon la garrigue et les mythologies régionales. Votre roman de l'été ? Oui, ça peut bien être celui-ci !