Un seul oeil
Michèle Pedinielli
Editions de l'Aube - 2025
9782815963794
Ghjulia - Diou - Boccanera, détective privée à Nice, quinqua accro au café et aux Docs, a le coeur déchiré. Son colocataire-meilleurami-âmesoeur est plongé dans le coma après qu'il a vraisemblablement été poussé d'une échelle. Alors qu'elle trouve un peu de réconfort auprès du commandant Joseph Santucci, l'autre amour de sa vie, ce dernier se trouve à son tour jeté dans les affres du chagrin quand quelqu'un s'en prend à l'un de ses proches... ce qui met à cran toute la police de la ville. Qui pour se soucier de Dan, maintenant ?
Diou devra trouver de nouveaux alliés et bien sûr, elle ne reculera devant rien pour démasquer l'agresseur de son ami... pas même devant la horde de Pénitents Blancs qui envahissent la cité, pas même devant la machine qui avale le théâtre, pas même devant les fantômes du passé, pas même devant un autre Corse nouveau venu dans sa vie, aussi décidé qu'elle à faire éclater la
vérité. Cette nouvelle enquête de Boccanera est puissante, traversée d'éclairs de poésie et de sentiments vrais, menée avec subtilité et intelligence.
Ça commence comme ça :
"Il faut que je te raconte une histoire, Diou. Elle commence bien, au printemps.
Toi comme moi préférons souvent l'incertitude douce et les contours floutés de l'imprécision, mais je me souviens bien de ce mois de mai 1998. J'avais presque trente ans et William était assis en face de moi, William et sa beauté du diable."
Dans le cinquième tome de la série commencée avec "Boaccanera", l'enquêtrice niçoise de Michèle Pedinielli, traverse une mauvaise passe: son meilleur ami dans le coma après une agression, son ex (vraiment ?), commissaire de police, pris pour cible, sa voisine qui meurt en lui laissant un chien capricieux, ... et puis Nice et ses transformations parfois aberrantes et sa politique droitière. Mais toujours l'humour, ici un peu triste, et la fougue de cette amoureuse de sa ville malgré tout.
"Il faut que je te raconte une histoire, Diou. Elle commence bien, au printemps.
Toi comme moi préférons souvent l'incertitude douce et les contours floutés de l'imprécision, mais je me souviens bien de ce mois de mai 1998. J'avais presque trente ans et William était assis en face de moi, William et sa beauté du diable."
Dans le cinquième tome de la série commencée avec "Boaccanera", l'enquêtrice niçoise de Michèle Pedinielli, traverse une mauvaise passe: son meilleur ami dans le coma après une agression, son ex (vraiment ?), commissaire de police, pris pour cible, sa voisine qui meurt en lui laissant un chien capricieux, ... et puis Nice et ses transformations parfois aberrantes et sa politique droitière. Mais toujours l'humour, ici un peu triste, et la fougue de cette amoureuse de sa ville malgré tout.